En Suisse, un train peut cacher un joint. C’est en tout cas la certitude des Chemins de fer fédéraux qui veulent soumettre leur personnel à des tests antidrogue lors des contrôles de santé de routine. Cible ? Les agents de moins de 40 ans dont la fonction est liée à la sécurité – conducteurs de locomotive, contrôleurs ou employés de triage. De quoi indigner Hanspeter Thür, le gendarme suisse de la protection des données, qui dénonce un « flicage » des individus durant leur temps libre. Les traces de cannabis peuvent en effet subsister dans l’organisme plusieurs semaines après consommation. Ce dossier brûlant risque d’atterrir sur le bureau des juges helvétiques.
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