Gates, Soros, Bono... Si les stars de la scène financière ou artistique se penchent - et, avec eux, leurs millions - sur le cas des pays les plus nécessiteux, pourquoi pas les producteurs de pétrole ? C’est fort de cette question qu’Anwarul Karim Chowdhury, sous-secrétaire général des Nations unies pour les Pays les moins avancés (PMA), a proposé que les nations productrices consacrent la modique somme de 10 centimes par baril au développement des infrastructures dans les PMA. Si les dix-sept pays producteurs de pétrole les plus importants acceptaient de jouer le jeu, le montant par mois pourrait atteindre 17,6 millions de dollars. Une source de revenus pour l’heure bloquée dans les tuyaux de brut, car aucun engagement ferme n’a été signé à ce jour.
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