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7-09-2006

Le capitalisme pique du nez

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"Rien ne va plus pour le capitalisme qui part à hue et à dia", nous explique un lecteur. Mais le pire est peut-être devant nous.
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  • Par José Ferré, bloggeur : Le capitalisme pique du nez

    Depuis près de trois siècles, le capitalisme a accompagné et favorisé le développement du monde occidental. Il a apporté dynamisme et progrès, sur les plans économiques, techniques, culturels, favorisé une meilleure répartition des richesses. Aucun autre système, à ce jour, n’a fait mieux.
    Cette reconnaissance des "bienfaits" du passé ne vaut pas blanc-seing pour le présent ou pour l’avenir.
    Car le capitalisme a connu, depuis les années 1970, une mutation qui bouleverse sa nature : de facteur central de production de richesses jusque dans les années 1960, il est devenu son contraire. Le capitalisme entrepreneurial des décennies et des siècles passés est devenu strictement financier.

    D’abord incarné par une poignée d’hommes, puis une classe très étroite (les 200 familles en France, les figures emblématiques mondialement connues de familles comme celles des Rockefeller ou des Rothschild...), le capitalisme a, peu à peu, dès le XIXe siècle, élargi sa base sociale : il s’est démocratisé avec l’émergence des classes moyennes, en Europe et en Amérique du Nord.

    Aujourd’hui, sans compter plusieurs milliards de petits propriétaires individuels, possesseurs de "valeurs d’usage propre" (domicile, terre ou outil de travail), la base du capitalisme compte 300 à 400 millions de personnes à travers le monde (soit environ 5% de la population mondiale, essentiellement américains, européens et japonais), possesseurs d’actions ou de créances financières (comme, par exemple, leurs cotisations, obligatoires ou volontaires, pour leur retraite future).

    Ces centaines de millions de personnes ne gèrent pas leur patrimoine en direct. Elles en confient la gestion à des banques, des sicav, des compagnies d’assurance-vie, des caisses de retraites, des fonds de pension qui eux-mêmes emploient plusieurs dizaines de milliers de personnes (30, 40.000 peut-être), chargées de faire fructifier les fonds qui leur sont confiés.

    Qui dirige ce système ? Qui en est responsable ? On le voit : personne en particulier.
    Ce qui nous conduit à la première mutation du capitalisme des trente dernières années : aujourd’hui sans visage, le capitalisme financier est désincarné.

    La seconde mutation du capitalisme résulte du progrès des communications et des bouleversements qui s’ensuivent : depuis la seconde guerre mondiale, les barrières douanières ont été progressivement abaissées, la circulation de l’information, des produits, des services et des flux financiers en a été facilitée.
    Aujourd’hui, le capitalisme financier est sans frontières. Le rôle régulateur des Etats est tombé en désuétude.

    31000 milliards de dollars de capitalisation boursière

    La troisième mutation du capitalisme tient à son succès même. Plus puissant que les Etats-nations et les politiques nationales, qu’il s’applique à démanteler, aujourd’hui, le capitalisme financier est sans frein et sans contrôle : il gère des sommes colossales, dont le poids sans rival dessine les contours du monde d’aujourd’hui, sans souci de tel ou tel autre régime politique, à Paris, New York, Tokyo, Moscou, Pékin ou Delhi.

    A fin 2003, la capitalisation boursière mondiale représentait plus de 31.000 milliards de dollars, soit 86% du PIB mondial de la même année (36.000 milliards de dollars).
    Que font ces masses d’argent considérables ? Elles sont investies, sous forme d’actions ou d’obligations, dans les plus grandes entreprises. En contrepartie, leurs gérants exigent une part croissante des profits générés par ces entreprises. La norme est aujourd’hui un retour sur investissement de 15%. Ce seuil ne peut être atteint et maintenu par les entreprises que de quatre manières complémentaires :

    1• par un déséquilibre croissant, dans la répartition des résultats de l’entreprise, entre travailleurs et actionnaires, au profit de ces derniers

    2• par la recherche constante de la productivité et de la croissance, à tout prix (concurrentiel, environnemental, social)

    3• par la diminution constante des coûts (matières premières, transports, sous-traitance, travail) et, sa conséquence :

    4• par la délocalisation, c’est-à-dire la recherche frénétique, à travers le monde, du plus bas coût possible du travail.

    Lorsqu’une entreprise ou un secteur a épuisé sa capacité à générer du profit pour ses actionnaires, ils sont aussitôt abandonnés pour un autre secteur, une autre entreprise qui subissent la même loi : augmentation des profits, au prix d’économies ruineuses pour les sous-traitants, puis pour les salariés destructrices d’emploi , coûteuses pour les communautés qui doivent compenser ou dédommager la perte des emplois et leur fuite vers d’autres cieux.

    Aujourd’hui, le capitalisme financier est contre-productif et socialement nuisible, pour les populations occidentales qu’il exploite, comme pour celles des pays en développement qu’il sur-exploite.
    Mais ce n’est pas tout. Non content d’être devenu contre-productif et nuisible pour les hommes, aujourd’hui, le capitalisme financier est nuisible pour l’environnement.

    La course à la croissance, au profit immédiat entraîne l’exploitation massive, non régulée, des ressources non-renouvelables, pétrole et autres matières premières, forêts, eau. Cette exploitation du monde fini ne peut être infinie.
    D’autant que les conséquences calamiteuses de cette exploitation sans frein commencent à apparaître aux yeux de tous : réduction de la bio-diversité par la disparition massive d’espèces animales et végétales, réchauffement de la planète et dérèglements climatiques. Aujourd’hui, le capitalisme financier met en danger la planète.

    En bref, et pour souligner l’absurdité du système, les 31.000 milliards qui circulent sans cesse autour de la terre, pour payer nos retraites, commencent par nous mettre au chômage et finissent par ruiner l’environnement des générations futures !

    Ce système peut-il se réformer ? La réponse est clairement non. La recherche du profit immédiat étant sa seule vocation, le capitalisme ne peut y renoncer, sauf à se condamner lui-même. Aujourd’hui, le capitalisme financier ne peut pas s’auto-réguler.

    Peut-il être régulé de l’extérieur ? Aucune bonne volonté, aucun Etat, aucun groupe d’Etats, n’est aujourd’hui assez puissant pour contrôler, réformer ou mettre un terme à ce flux et à cette logique. Aujourd’hui le capitalisme financier ne peut être contrôlé ou réformé que par plus fort que lui.
    Que faire ? Il n’y a que quatre solutions :

    1• soit le cours actuel des choses se poursuit et, à 40 ans, sans s’y être préparée, la terre sera un lieu invivable écologiquement, économiquement et socialement.

    2• soit des malins, "terroristes" ou autres, piratent durablement les serveurs et lignes informatiques qui rendent possible la circulation internationale du capital.

    3• soit les peuples se révoltent simultanément pour refuser ce système.

    4• soit les hommes se regroupent pour former un Etat universel, seul capable d’établir des règles de fonctionnement communes, orientées vers le bien-être de tous et la préservation du cadre de vie, réglementant drastiquement le profit, voire l’abolissant dans sa dimension financière et substituant au concept de croissance celui de progrès.

    Notre préférence va évidemment à la quatrième solution. Mais saurons-nous faire l’économie des trois autres ?

    Retrouvez cet article sur le blog Imagine 2012

    6.09 à 19h46 - Répondre - Alerter
    • Qui dirige ce système ? Qui en est responsable ? On le voit : personne en particulier.

      Curieux que vous ne voyez pas ! Cherchez encore. Indication : ceux qui dirigent ce système sont cités dans votre article. Ils dirigent encore mais il semblerait que leur bateau s’apparente maintenant au Titanic... au grand espoir de l’humanité.

      7.09 à 12h15 - Répondre - Alerter
      • Merci, Terra Economica, d’avoir republié ce texte. Je profite de cette occasion pour vous signaler un texte assez complémentaire de celui-ci, intitulé Un monde dans tous ses états, publié avant-hier sur mon blog, Carnets de nuit.

        > en réponse au premier commentaire : je maintiens, qu’au-delà des apparences (gouvernements, grandes entreprises et puissants de tout poil), personne ne dirige ni ne contrôle vraiment ce système... C’est bien le problème.

        Voir en ligne : http://carnetsdenuit.typepad.com/

        7.09 à 14h35 - Répondre - Alerter
      • Qui dirige ce système ? Qui en est responsable ? On le voit : personne en particulier. ?

        Le capitalisme est un "réflexe conditionné" de chaque être humain. Lié aux émotions, et à "la peur du lendemain", il se transforme en une maladie d’accumuler à tout prix et par tous les moyens, sans considération pour les conséquences,des bons de papier indexant des valeurs réelles (terre,objets, environnement, du travail, etc).

        En accumulant du "capital" on se rassure.

        Le capitalisme est un "mean of massive abortion" , meme le marxisme-léninisme s’y adonne à coeur joie afin de se maintenir en vie ou/et au pouvoir.
        Quand les valeurs tangibles sont transformées en "liquide circulant" , il est facile de s’en emparer par des jeux d’écritures.

        Qui dirige le système, : chaque personne qui a des actions, des obligations, etc..... donc vous et pas moi. Quand allez vous retirer vos actions, et les placer à 0% d’interet pour financer des projets et micro-crédits ?

        Défi : qui pourrait nous dire ce qui se passerait si on revoyait tous les taux de change ?

        Par exemple : 1 Fr CFA = 1 Euro ? tous les blancs du nord émigreraient-ils chez les noirs du sud ?

        7.09 à 15h34 - Répondre - Alerter
      • Guillaume de Baskerville : Le capitalisme pique du nez

        Bon article, qui s’appuie entre autres, précisons le, sur les thèses et les éléments développés par Peyrelevade et Artus dans leurs bouquins respectifs d’analyse des dérives du capitalisme financier. Mais ce capitalisme financier n’est que la nouvelle version en date de l’évolution - pour sa survie- du capitalisme tout court, ne l’oublions pas.

        Mais même remarque que ci-dessus : ce n’est pas parce que ce capitalisme (ou du moins cette évolution) dématérialise les rôles joués, les met à distance les uns des autres et donc brouille les cartes des responsabilités qu’on doit céder à la tentation d’un relativisme mou expliquant que plus personne n’est maître à bord. Cette idée est FAUSSE et TENDANCIEUSE car les groupes de pression et d’orientation existent (Bilderberg, Trilatérale et autres), et il y a encore et toujours des gens qui décident et définissent les règles du jeu les plus favorables, celles dans lequel ils auront le plus à gagner ou parfois le moins à perdre.

        Sur ce point, les faiseurs de règles du jeu nouvelles pullulent à Bruxelles ou à Francfort notamment...

        GdB

        http://lenairu.blogspot.com

        http://lenairu.free.fr

        http://linflation.free.fr

        8.09 à 01h07 - Répondre - Alerter
      • Il est vrai que notre monde ressemble de plus en plus au Titanic (à se demander même si l’accident du Titanic n’est pas lui-même une métaphore prémonitoire).
        Beaucoup d’iceberg (représenté par les effets collatéraux du capitalisme), pas de radar pour les détecter (pas de vision à long terme), personne à la barre (c’est un système qui dirige, système qui n’a ni yeux, ni oreilles ni à l’égard des hommes ni à l’égard de l’environnement), il avançait et nous croissons à une vitesse de plus en plus élevée, l’orchestre joue à tue-tête (un show bizz omniprésent) pour nous faire oublier les dangers, les pauvres sont dans la cale, sous le niveau de la mer (ou dans les pays de sud où les effets des changements climatiques sont et seront les plus marqués...Une différence notable cependant : sur le Titanic, il y avait trop peu de chaloupes de sauvetage, dans cette société, il n’y en a aucune ! Et pas davantage de sauveteurs pour venir à notre aide !

        21.09 à 11h45 - Répondre - Alerter
      • Rarement accusé, le libéralisme qui sous-tend le capitalisme sauvage est pourtant à la source de la révolte sociale qui a secoué les banlieues !!!

        COMMENTAIRE d’Edith SAMME :
        Introduction :

        En France ou ailleurs, les vrais problèmes ne viennent pas des systèmes creux, alibis et superficiels (libéralisme, capitalisme, socialisme, gauche, droite, etc) mais de l’échec de certains de leurs idéologues sur la conception qu’ils se font de la vie, de l’homme et de l’éducation. Tous les systèmes d’organisation « de parti pris d’intérêt » qui se terminent en « ismes figés » sont en échec. Tous les éléments de la filière qui ont porté leurs représentants aux affaires, naïfs ou non devant les puissants intérêts des multinationales, ont démontré leur incapacité à convaincre et s’accorder sur les valeurs nécessaires à l’Éducation nationale ; qui d’ailleurs n’éduque plus grand chose... Les composantes du corps social sont incapables de vivre en harmonie. Les responsables de ces pseudos systèmes sont impuissants et incompétents pour rendre la Société belle, juste et équitable, et en conséquence les êtres humains heureux.
        J’estime que l’une des causes de ce désordre vient essentiellement d’hommes et femmes, au sein même de leur organisation, parvenus au pouvoir de leur sphère d’influence. Généralement sans scrupules, à l’image de certains prédateurs nuisibles, ils sont une minorité agissante qui salit l’humanité. Cet article a pour but d’inviter chacun à les repérer pour les empêcher d’accéder à tout mandat électif, dans tous les domaines de la vie sociale, politique, et culturelle. À chacun de prendre ses responsabilités, si tant soit peu les règles du jeu utilisées par ces prédateurs ont été comprises.

        Ces individus en question (hommes ou femmes) sont des manipulateurs conscients et exercés. Ils savent jouer sur les instincts et la fragilité de la nature biologique de l’être humain. Les plus cyniques d’entre eux sont prêts à tout pour leur orgueil, avoir du profit facilement et rapidement et jouir dans tous les sens du terme. Attention, nous sommes de plus en plus en danger, qui plus est avec les connaissances des mécanismes de la manipulation mentale dérivée des connaissances scientifiques (notamment de la neurologie). Avec le développement des moyens de communication, amplifiés par les nouvelles technologies, tout est à craindre de leur part et de leurs groupes de presssion ! Ces individus méprisables ont l’art, pour arriver à leurs fins, de fouiner et d’utiliser la mauvaise part de l’animalité qui abrite l’agressivité mal canalisée de l’homme ; ceci à tous les niveaux, en France et ailleurs, sur tous les continents, dans tous les pays riches ou en voie de développement.

        Ces prédateurs, qui représentent une minorité agressive mais puissante, on les retrouve avec les mêmes intentions égoïstes dans toutes les étapes de l’histoire. Ils s’agglutinent subtilement dans des organisations mafieuses, mais aussi à l’air respectable. Dans les deux cas, ils combinent en sous-main leurs affaires ensemble pour conserver partout leurs intérêts (par le biais de leur parti, d’associations, de groupes de lobbying qui s’insèrent même dans les mouvements religieux et syndicaux). Il s’agit à tout prix pour eux de satisfaire leur besoin de domination, d’accroître leur pouvoir, leur sécurité matérielle et celle de leurs proches, leurs jouissances perverses ou non.

        Pour leur narcissisme forcené, leur mépris de l’humanité, et la conception qu’ils se font de la réussite et de la démocratie, qu’importent pour eux les plus faibles qu’ils écrasent de leur supériorité, les pauvres gens qui ne demandent qu’à vivre en paix, à travailler pour gagner leur vie tout en se rendant utiles, et à élever dignement leurs enfants.
        Qu’importent pour eux les dommages à l’environnement et les conflits militaires générés qui tuent des innocents en enrichissant ceux qui vivent de leur commerce.
        Ils m’écoeurent ! Ils me donnent la nausée ! Honte à eux ! Honte pour leur manque d’amour envers le genre humain et ses capacités inconditionnelles à aimer auxquelles ils ne croient pas, mais dont ils abusent et veulent toujours plus tirer profit égoïstement.
        En reprenant une déclaration politique employant le terme injurieux de "racaille" - dont parlait « un Certain » aux multiples faciès des banlieues - il serait préférable de mieux orienter sa signification sur « certains visages de toutes couleurs de personnalités rangées » à l’abri du besoin ; je veux parler de ces individus à l’allure trompeuse et grassouillette de poupons souriants. On retrouve leurs visages frais, sans peur du lendemain, repérables dans les catégories et lieux feutrés « de certains cols blancs » ; souvent ils se tapent sur l’épaule avec des « cher ami » !. Beaucoup de ces prédateurs en question leur ressemblent, vous l’avez deviné. Initiés en tout genre, faiseurs de coups en bourse, siégeant le plus possible dans les assemblées, bidouilleurs de plans d’occupation des sols, traficoteurs de toute nature, on les retrouve presque partout et prêt à corrompre d’aussi minables qu’eux par des services, des promesses ou des avantages certains.

        Ces hommes ou femmes dominants, intelligents, malins et pervers, toujours en recherche de reconnaissance des autres et de gratifications de toutes sortes, devraient se rappeler qu’il existe une chose plus importante que leurs lamentables combines, les systèmes qu’ils entretiennent, leur parti, classe ou groupe qu’ils pourrissent. Une chose plus importante que leur propre intérêt égoïste et ceux de leur entourage profiteur, conscient ou inconscient : "que personne dans ce bas monde ne crache le sang pour que d’autres vivent mieux".

        Ayons honte de tous ceux qui ne font rien pour que cela change et qui, sans discernement, se soumettent en pensant que « la loi du plus fort est toujours la meilleure !

        Partout dans le monde, pour en finir avec la misère matérielle, affective et morale, commençons, dans tous les milieux, à identifier à tous les niveaux d’organisation de la société, sans exceptions, « ces insupportables, leurs complices et obligés ». Il faut les empêcher de nuire en les écartant de tous les postes ayant un pouvoir de décision ; principalement à tous les échelons ayant un caractère économique, politique, social et culturel. Que chacun réfléchisse au moment des élections en tout genre...

        C’est vital pour la république, et une saine et vraie démocratie qui doit en finir de reposer sur l’hypocrisie. Hypocrisie justifiée par des raisonnements fallacieux, eux-mêmes entretenus par des consensus frauduleux relayés volontairement ou non par tous ceux qui ont une influence sur la population, notamment la presse, la radio, et la télévision. Mais aussi le monde de la littérature, du théâtre, des arts, du spectacle, de la musique et du cinéma qui, avec la séduction complice de leurs mercenaires, font lâchement ou bêtement passer certains messages dans les oeuvres de fiction ou non. Ces média qui, sans généraliser, sont contrôlés subtilement, voire dominés, directement ou indirectement, dans l’ombre, par les obligés ou représentants de ces tristes individus qui font, dans les banlieues et ailleurs, désespérer de la société et de l’humanité.
        Posons-nous les véritables questions : comment le pouvoir et la domination s’exercent sur les individus, comment « le système de la peur » instrumentalise la violence psychique et physique ? Instrumentalisation d’une peur distillée avec un certain sadisme dans les média, sans relâche, jour après jour, avec les mêmes ressorts de fond de commerce utilisant le sensationnel, les sous-entendus, les rumeurs. Elle vient de ces « écoeurants » qui l’utilisent ou en sont complices pour l’organiser comme moyen de contrôle social permanent.

        Informations manipulatrices, préparées par des mercenaires manipulés eux-mêmes par les forces de l’argent, et qui se croient intelligents à l’abri des agences nationales et internationales de presse. Ces pseudo journalistes compromis par lâcheté ou inconscience, n’en finissent pas d’être ridicules sur des informations le plus souvent ânonnées sur des téléprompteurs, rabâchées, martelées et relayées en compromission à l’identique ; elles donnent, en regardant et lisant certains journalistes, envie de vomir.

        Je vous invite à publier largement et partout ce commentaire, car beaucoup de ces individus se reconnaîtront, j’en suis sûr ! Ils sauront que les braves gens, des banlieues, des zones défavorisées volontairement, ou d’autres lieux sur terre, ne sont pas dupes même s’ils n’ont pas encore bien identifié la cause de leur malheur et désespoir qui vient essentiellement de ces cyniques ; et par voie de conséquence de ceux qui se complaisent à les imiter, servir, couvrir et malheureusement les représenter, jusque dans le monde politique.

        L’homme est grand, je crois en lui !
        La vie est belle ; ne laissons pas les prédateurs « Les mauvais de cette nature » nous la gâcher !...Agissons pour une saine et véritable démocratie débarrassée des malfaisants au pouvoir.

        Si vous cherchez les responsables des désordres les voici décrits.

        Cordialement !
        Signé : "un Enfant des banlieues"

        23.09 à 20h49 - Répondre - Alerter
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