C’est la question que pose le New Scientist. Fin 2010, ils devaient pourtant être 50 millions sur la surface du globe. Réponse : ils sont tombés dans l’oubli général, faute de les avoir comptabilisés. Pas évident en effet de faire le lien entre un événement naturel unique et le changement climatique global – sauf pour les centaines d’insulaires menacés par la montée des eaux. Difficile aussi de comprendre la motivation première des migrants. Derrière le motif économique se dissimule pourtant parfois des causes bel et bien climatiques : inondations en Equateur, sécheresse au Sahel ou encore désertification en Chine…
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