Si on a tout bien compris à ce film français qui se passe à New York, il y a les gentils traders et les méchants traders. Les premiers empochent quelques millions de dollars par an en respectant les limites du marché et les seconds, enivrés par leur pouvoir, atteignent le milliard. La spéculation n’est un sot métier que si elle est pratiquée par des gens sans scrupules, et non par de sympathiques quadras qui « aiment le risque » (et pratiquent le « base jump » le week-end). Quant à savoir ce que leur activité provoque comme catastrophes sociales et environnementales dans le monde, on ira le chercher ailleurs. —
Affichage : Voir tout | Réduire les discussions