C’est l’un des pavillons les plus emblématiques de l’expo de Shanghai 2010. Sans support avec le sol, sur un tapis de papier, ce cube en bois recouvert de 60 000 épines d’acryliques longues de 7,5m, a pour vocation de « ramener la nature en ville ». Surnommé le « balai-brosse » ou la « guimauve poilue », il renferme à l’intérieur des épines, des graines de plantes sauvages importées de la banque de graines du Jardin botanique royal de Londres. Les épines vibreront avec la brise et la foule des visiteurs, qui ressentiront l’affluence à l’intérieur du pavillon. Comme des filaments de fibre optique, les tiges absorbent la lumière du jour pour illuminer l’intérieur tandis que la nuit, des LED (diode électroluminescente) incorporées dans chaque tige feront briller le pavillon. Les graines, protégées, pourront être ressemées après l’Expo. Elles symbolisent la « durabilité, la diversité de la nature et le potentiel de la vie ».
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