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Waste Land : quand la photo d’art sublime les déchets

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Waste Land : quand la photo d'art sublime les déchets
(Photo : image extraite du film Waste Lande de Lucy Walker.)
 
Sur son blog Ceza.me Erick Hostachy raconte son coup de cœur pour le documentaire de Lucy Waker, nominé aux Oscars et sorti en salle mercredi dernier.
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ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
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Waste Land est un film de Lucy Walker montrant le travail effectué par l’artiste brésilien renommé Vik Muniz. Ce dernier construit ainsi des portraits monumentaux à partir des déchets récoltés dans la plus grande décharge du monde, Jardim Gramacho, à Rio de Janeiro. Une belle histoire sociale et artistique sur l’illusion des images et les travers de notre société.

Waste Land est un documentaire dont je n’avais jamais entendu parlé jusqu’à ce que mon ami fou Laurent en dise un mot sur Facebook. J’ai alors découvert ce trailer vidéo, avec l’envie irrésistible d’en faire un billet très rapidement.

 WASTE LAND Official Trailer from Almega Projects on Vimeo

Par sa démarche, Vik Muniz m’a rappelé deux très belles initiatives artistiques dont je vous avais déjà parlé. Celle de Sue Webster et Tim Noble, tout d’abord. Ces deux artistes plasticiens ont en effet choisi de bâtir des œuvres artistiques à partir de déchets mais qui, présentées sous un certain angle, nous font découvrir un envers du décor plein de vie et de beauté.

La seconde initiative artistique est celle de l’artiste français JR avec son film Women are Heroes. Dans ce dernier, le photographe couvre des bidonvilles du Sierra Leone ou du Liberia avec des portraits immenses de femmes, des habitantes. Dans ce contexte de pauvreté immense, JR fait renaitre la vie, l’espoir en permettant à ses femmes d’exister et de se raconter.

Le documentaire sur Vik Muniz semble nous emmener dans sa vision du monde, destinée à nous éclairer sur les abus de notre société, mais où l’art est toujours présent. Avec ce Midas, tout ce qu’il touche se transforme en Art. Son œuvre dans Waste Land est à la fois emprunte d’une très grande humanité, tout en nous amenant doucement vers la nécessité de changer notre vision du monde.

Ce que je retiendrai surtout de Vik Muniz et du documentaire de Lucy Walker, c’est que le beau se cache en tout, et que la vie est donc plus forte que tout.

Cet article a été initialement publié le 29/03/11 sur le blog Ceza.me

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