400 hectares de maïs OGM détruits. Non, José Bové n’est pas allé faire un tour en Hongrie. C’est le gouvernement lui-même qui a ordonné l’élimination de ces plants contaminés par des graines OGM Monsanto, probablement venues de pays européens proches, rapporte le magazine américain Rosebud. Objectif ? Montrer au géant des semences que la Hongrie – qui interdit la culture des plants modifiés – ne se laisse pas intimider par le lobbying pro-OGM.
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