Le sous-commandant Marcos est de retour. Celui que l’on disait malade est réapparu via plusieurs communiqués successifs pour réclamer au nouveau président mexicain, Enrique Peña Nieto, et au parti au pouvoir, le PRI, la défense des droits et de la culture indigène dans le pays. Ce retour au premier plan, explique le magazine Proceso, avait été précédé, en décembre dernier, d’une longue marche silencieuse, au Chiapas, de plus de 30 000 membres de l’EZLN, la guérilla zapatiste. Au Mexique, 12 millions d’individus sont considérés comme appartenant à la communauté indigène.
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