Foot, courses de lévriers, élections : les Britanniques parient sur tout, pour le plus grand plaisir des bookmakers. Mais miser sur sa propre longévité, c’est nouveau. A l’âge de 90 ans, Alec Holden a parié 200 dollars, à 250 contre un, qu’il vivrait jusqu’à 100 ans. Pour les joueurs, c’était de l’argent facile à empocher. Perdu ! Le centenaire, bien en forme, vient d’empocher un magot de 50 000 dollars. Son secret ? « Le porridge, l’air pur, et les échecs. » La bonne affaire ne fait pas rire les bookmakers qui envisagent de relever le seuil de ce type de pari à 110 ans. Rien ne dit, en revanche, si ceux-ci auront le bon goût d’envoyer fleurs et couronnes aux joueurs ayant perdu avant l’heure.
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