De 600 000 à… deux millions de dollars. Soit de 439 000 à 1,5 million d’euros. C’est ce petit bond que vient de faire le salaire annuel du pédégé de la banque américaine Goldman Sachs. Et ce, malgré le recul de 37% du chiffre d’affaires de l’établissement en 2010. Scandaleux ? Sans doute. Un cas particulier ? Malheureusement non. Ce n’est pas pour rien que la « moralisation » de la rémunération des patrons est devenu un grand classique des discours politiques, de Ségolène Royal à Jean-Luc Mélenchon qui plaide même pour un « salaire maximum ». Mais au-delà de la bataille partisane, quelle rémunération mérite vraiment votre chef d’entreprise ? Quel ratio imaginer entre le salaire le plus faible et le plus haut dans votre service, votre boîte ? Dites-nous tout au bas de cet article, dans le forum.
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