Une situation géopolitique régionale instable, une histoire footballistique très récente, un territoire très limité. A priori, le Qatar n’avait pas beaucoup d’atouts pour remporter l’organisation de la Coupe du monde de football en 2022. Sans parler de la température extérieure l’été : 45°C en moyenne. Pourtant c’est bien le projet évalué à 100 milliards de dollars (75 milliards d’euros) et porté par le parrain de luxe Zinédine Zidane qui a été choisi par la fédération internationale. Un miracle ? L’action magique des « pétro-gazo-dollars » ? Non (ou pas seulement !). Car les stades futuristes seront climatisés, promettent les organisateurs qataris. Mieux, ils fonctionneront « aux énergies renouvelables » et leurs matériaux seront « adaptés ». Pas convaincus ? C’est aussi le cas de certains sportifs et de certains politiques. Pourtant, un « green people » comme Yann Arthus-Bertrand a défendu cette candidature « neutre en carbone ». Une vue de l’esprit pour un tel événement ? Et vous, qu’en pensez-vous ? Dites-le nous en postant un commentaire au bas de cet article.
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