Un jour, un financier de la City qui s’ennuyait a voulu savoir s’il était capable de vendre n’importe quoi à n’importe qui. Pendant cinq mois, il a donc acheté et revendu des tapis aux Marocains, du café aux Sud-Africains, du piment aux Indiens… Pensant « que le commerce permet de mieux connaître les gens qui nous entourent », Woodman démontre surtout sur 300 pages qu’il s’intéresse bien moins à ceux qu’il croise qu’à son portefeuille… Epatante leçon de commerce, mais antipathique aventure que celle de ce petit financier blanc qui prend du bon temps avec ses économies dans les pays du tiers-monde. —
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