Vous connaissez peut-être déjà Uber, qui permet à certains particuliers de devenir chauffeur de taxi à temps partiel. L’entreprise américaine a lancé mardi un nouveau service, UberRush, vous proposant de devenir coursier à vos heures perdues. A cette occasion, The Atlantic s’interroge sur le sens de ces nouvelles activités rémunérées, et pose les questions qui fâchent. Assiste-t-on vraiment à l’émergence d’une nouvelle économie où les personnes peuvent monnayer les biens dont ils ne se servent pas mais aussi monnayer leur temps de travail sans être salarié ? N’est-ce pas plutôt leur temps libre qui est vendu ? Et si c’est le cas, ne faut-il pas s’alarmer de voir que le temps libre est « vendu », et ce à un tarif plus élevé encore que le temps de travail ?
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