Même s’il s’est rendu début décembre à la police anglaise, – il faisait l’objet d’un avis de recherche international pour le délit de « sexe par surprise » –, le hacker australien a promis de faire de 2011 l’année des entreprises et des banques. WikiLeaks, qu’il a cofondé en 2006, a déclenché une tempête diplomatique en se procurant plus de 250 000 télégrammes du département d’Etat américain. Après les révélations sur les guerres d’Irak et d’Afghanistan, Julian Assange promet que des dizaines de milliers de documents financiers seront publiés. Son arrestation ne modifiera pas la diffusion étalée des notes et mémos, a fait savoir le site WikiLeaks via son compte Twitter.
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