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NKM : « Il n’y aura pas de référendum sur le nucléaire »

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NKM : « Il n'y aura pas de référendum sur le nucléaire »
 
Non, Nicolas Sarkozy n’a pas renié le volontarisme vert des débuts de son quinquennat. C’est en tout cas le message de sa porte-parole, Nathalie Kosciusko-Morizet.
Le Baromètre de cet article
ÉCOLOGIE SOCIÉTÉ ÉCONOMIE
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Quand Nicolas Sarkozy évoque son bilan, il cite l’autonomie des universités, la réduction des dépenses et la réforme des retraites. Jamais le Grenelle…

Je ne suis pas d’accord, il cite aussi le Grenelle de l’environnement. C’est un mouvement qu’il a initié et soutenu.

Il n’en a pas dit un mot dans sa déclaration de candidature à la présidentielle (1), le 15 février.

Le Grenelle figure dans d’autres discours. Il le retient comme l’une des réformes majeures du quinquennat. Il aime les réformes en profondeur, de transformation. Il y a des domaines sur lesquels tout le monde était d’accord pour dire qu’il fallait changer les choses, mais soit on ne savait pas comment les prendre, soit on avait peur. La réforme de l’autonomie des universités et celle des retraites illustrent aussi cela.

Aujourd’hui, on le voit courir à la rescousse d’entreprises au bord du dépôt de bilan. Est-ce la bonne méthode pour maintenir l’emploi ?

Cela ne date pas d’aujourd’hui. Je crois que Nicolas Sarkozy est aujourd’hui le seul candidat légitime à se rendre dans les usines. Lui l’a toujours fait. Et puis, il faut distinguer deux choses : l’urgence et le travail de long terme pour la compétitivité. Il y a urgence car des entreprises vont mal. Il faut donc trouver des solutions pour elles. Mais nous menons aussi un travail de fond. Je pense à la suppression de la taxe professionnelle, qui pesait sur l’emploi industriel. Il y a aussi des actions en cours, comme la TVA anti-délocalisation (mieux connue sous le nom de « TVA sociale ». Elle consiste en une baisse des cotisations patronales financée par une augmentation de la TVA et de la CSG, la contribution sociale généralisée, sur le patrimoine, ndlr). Le programme de François Hollande, quant à lui, propose un chemin inverse. Ses choix coûteraient à la France en termes de productivité.

Le chômage atteint 9,5 %. C’est un échec cuisant…

Personne ne peut se satisfaire d’avoir autant de chômeurs. Mais regardez chez nos voisins. En France, le chômage a certes augmenté de 31 %, mais les chiffres atteignent 51 % au Royaume-Uni, et 115 % en Espagne…

Et en Allemagne ? (2)

L’Allemagne a engagé ses réformes plusieurs années avant nous : retraites, temps de travail… Pendant trop longtemps, la France a tourné le dos au modèle allemand.

Quelles mesures mettre en place pour réduire le chômage ?

Améliorer la compétitivité des entreprises, faire payer une partie de notre protection sociale par les importations, et surtout améliorer la formation. Aujourd’hui, 500 000 offres d’emploi ne sont pas pourvues en France chaque année et seuls 10 % des chômeurs sont en formation : ce n’est pas acceptable. Pis, les trois quarts des demandes de formation des chômeurs ne sont pas satisfaites. Et ceux qui en obtiennent une l’obtiennent avec six mois de retard. Sur les 32 milliards d’euros accordés chaque année à la formation, seuls 4 milliards vont aux chômeurs. Le reste sert à la formation continue des personnes en activité. Nicolas Sarkozy veut que les chômeurs bénéficient plus de l’argent de la formation. Et il ira jusqu’au référendum s’il y a blocage.

Nicolas Sarkozy propose de faire travailler les bénéficiaires du revenu de solidarité active sept heures par semaine, alors que beaucoup assurent que cette mesure sera très coûteuse et difficile à mettre en place…

Le RSA a permis à 150 000 personnes de sortir de la très grande pauvreté. Il visait aussi à accompagner vers l’emploi. Ce second volet a beaucoup moins bien fonctionné : moins de 40 % des titulaires du RSA ont un emploi. Nous proposons donc de demander aux bénéficiaires de travailler sept heures par semaine, rémunérées au Smic. C’est une question de justice. Chacun a des droits, mais aussi des devoirs. C’est aussi une question d’efficacité : quand on décroche trop longuement du travail, c’est dur d’y revenir.

Faut-il comprendre que ceux qui refuseront de travailler n’auront plus droit à ce minimum vital ?

Il y aura une évaluation tous les dix-huit mois et on demandera à ceux qui sont au RSA – et qui peuvent travailler – de travailler sept heures par semaine.

En 2006, Nicolas Sarkozy disait : « Plus personne ne dormira sur les trottoirs ». Or, jamais autant de personnes n’ont dormi dans la rue. Comment inverser la tendance ?

Toute personne à la recherche d’un hébergement d’urgence de nuit, cet hiver, a pu être hébergée.

Le Samu social assure qu’une demande d’hébergement sur deux n’aboutit pas, faute de place…

J’ai fait des maraudes cet hiver. Certaines personnes ne souhaitent pas être hébergées pour de multiples raisons, notamment la qualité des centres d’accueil. Nous investissons donc pour les rénover, via le grand emprunt. Mais, cet hiver, il y a eu toutes les places qu’il fallait.

Selon Jean-Paul Delevoye, président du Conseil économique social et environnemental, les Français « implosent ». Que faire pour cette France-là ?

Il y a deux choses. Il y a d’abord une fragilité liée à la situation de l’économie. Ensuite, il y a, pour tous, y compris ceux qui ne sont pas dans une situation dégradée, un doute et une inquiétude. Je le comprends : si vous regardez les images de la Grèce, vous angoissez, même si vous n’êtes pas frappés. Et l’ensemble du programme de Nicolas Sarkozy vise à répondre à ça. Il faut une France forte pour être protégés.

En 2007, « tout était possible » pour l’environnement. Mais le président a peu à peu délaissé le thème, jusqu’au : « L’écologie, ça commence à bien faire. » Le temps de l’écologie est-il révolu ?

En matière d’écologie, il faut juger sur les actes. Il y a trop de discours. Le Grenelle est un mouvement de grande transformation, un mouvement comme jamais. Certains objectifs ne sont pas encore atteints. Notamment la taxe carbone, pour laquelle la gauche porte une grande part de responsabilité. Nicolas Sarkozy avait tordu le bras à une partie de sa majorité sur ce sujet, mais la gauche a déféré le projet au Conseil constitutionnel, qui l’a retoqué.

Il y aurait pu y avoir une deuxième mouture…

Avec la crise, la taxe carbone est apparue moins d’actualité, c’est vrai. En période de croissance, c’est un sujet un peu compliqué, mais que l’on peut expliquer. Avec la crise, c’est plus complexe.

Faut-il attendre le retour de la croissance pour oser des mesures sur l’environnement ?

En période de crise, il y a un amalgame entre une partie de la population – disons écolo-sceptique – et un mouvement dans l’opinion qui estime qu’il est moins le moment de l’écologie. Je conteste cela, car je pense que l’environnement est une clé, pas un problème. Le Grenelle a par exemple été construit pour dynamiser des filières françaises, comme le bâtiment, ou les énergies renouvelables.

Le soutien au photovoltaïque a pourtant été suspendu, avec un moratoire et une baisse des tarifs de rachat de l’électricité…

Comme partout en Europe ! Cette filière était devenue une industrie de pose de panneaux fabriqués à l’étranger et subventionnés sur les factures d’électricité. Nous essayons d’avoir des appels d’offres sur des niches technologiques, pour cibler les soutiens à des entreprises françaises. C’est le sens du rachat de Photowatt par EDF.

Des recherches actives sont menées en France sur les gaz de schiste, le pétrole en offshore profond, etc. Faut-il les poursuivre ?

Sur les gaz de schiste, le gouvernement a décidé d’interdire l’exploration et l’exploitation par fracturation hydraulique. Des autorisations avaient été accordées, mais c’était une erreur de mon point de vue. Il y a un débat sur l’offshore profond au large de Marseille. Le problème est que nous sommes sous la législation d’un très vieux texte, le Code minier, qui permet des renouvellements automatiques de permis. Nous avons donc lancé une réforme du Code. Au large de la Guyane, le président s’est engagé à ce qu’il n’y ait aucune exploitation avant cette réforme.

L’avocat Arnaud Gossement estime que son rapport sur le sujet « moisit » au Parlement…

Ce n’est pas vrai, et Arnaud Gossement le sait très bien. La réforme du Code a été lancée mais le calendrier parlementaire ne permet pas de la voter si vite.

Fin janvier, la Cour des comptes rappelait que d’ici à 2022 la moitié de nos centrales nucléaires, prévues pour durer trente ans, en auront 40. Sans évolution du mix énergétique ou de sévères économies d’énergie, Il faudra prolonger leur vie de dix ans, ce qui serait inédit. Que prévoyez-vous ?

Les choix en matière de sûreté nucléaire doivent s’éloigner de l’idéologie. Nous avons une autorité de sûreté indépendante ; je me fonde sur ce qu’elle dit. Si l’Autorité de sûreté demande la fermeture, nous fermerons. Pour ce qui est de l’âge, votre propos est inexact. Les centrales américaines, par exemple, sont plus anciennes.

Nicolas Sarkozy veut demander l’avis des citoyens dès qu’il y a un blocage. Y aura-t-il un référendum sur le nucléaire ?

Non, il n’y a aucun blocage sur ce sujet.

Sur l’énergie ?

On ne va pas faire des référendums sur tout. J’ai participé, en tant que parlementaire, en 2006, à un grand débat national sur l’énergie. Ça ne mobilisait pas. Les réunions étaient remplies de spécialistes. Ça ne passionnait pas !

Parce que l’immigration et l’indemnisation des chômeurs, ça passionne ?

Ce n’est pas votre point de vue. Mais revenons au nucléaire. Quelle question poser ? François Hollande propose un débat parlementaire sur l’énergie. Très bien. Au passage, je cherche toujours le texte de l’accord validé entre les Verts et le PS.

Claude Allègre va conseiller Nicolas Sarkozy à vos côtés durant cette campagne. Cela vous pose-t-il problème ?

Mes opinions et celles du président sur le changement climatique et sur le principe de précaution sont connues et ne sont pas celles de Claude Allègre. Sur la personne, je n’ai pas de problème.

Michel Rocard dit : « La campagne de la droite est fausse car elle laisse penser qu’à la fin de la crise ce sera le retour de la croissance. Or la croissance rapide, c’est fini, pour des raisons de disponibilité d’énergie. Il n’y en a plus. » Qu’est-ce que cela vous inspire ?

Une nouvelle croissance doit se mettre en place, qui n’épuise plus les ressources naturelles, énergies fossiles et matières premières. Cette nouvelle croissance est une réponse globale à la crise qui rompt avec le court-termisme. Elle assure la transition d’une économie fondée sur le gaspillage à une autre, fondée sur les économies. Avec le Grenelle, nous avons créé l’élan fondateur pour la France, en favorisant l’innovation et en incitant les investissements sur les technologies propres, les énergies renouvelables, les transports durables. Et même des bâtiments à énergie positive pour se positionner sur des secteurs verts qui assureront la compétitivité sur le long terme, la croissance et l’emploi. Mais il nous faut encore aller plus loin et plus vite, faire de la France une « Green Valley » reconnue mondialement, avoir dix ans d’avance ! —

(1) Il n’a prononcé les mots « Grenelle », « environnement » ou « écologie » ni dans sa déclaration de candidature, ni dans les discours d’Annecy, le 16 février, de Marseille, le 19 février, de Montpellier, le 23 février, et de Bordeaux, le 3 mars. Le 23 février, à Lille, et le 10 mars, à Villepinte, il a fait une courte mention du « droit de l’environnement ».

(2) Le taux de chômage en Allemagne s’élevait à 7,8 % en décembre 2011. Un chiffre à relativiser, 6,6 millions de travailleurs bénéficiant de « mini-jobs » à temps partiel.


En dates

1973 Naissance à Paris

1992 Diplômée de Polytechnique

2002 Députée UMP de l’Essonne

2002 Entre au cabinet du Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, comme conseillère technique pour l’écologie

2007 Secrétaire d’Etat à l’Ecologie

2008 Maire de Longjumeau

2009 Secrétaire d’Etat à l’Economie numérique

2010 Ministre de l’Ecologie

2012 Porte-parole du candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy

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Président de l’association des Amis de Terra eco Ancien directeur de la rédaction de Terra eco

Non, nous n’avons pas à « sauver la planète ». Elle s’en sort très bien toute seule. C’est nous qui avons besoin d’elle pour nous en sortir.

23 commentaires
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  • Promenade en plein hiver dans la montagne Suisse, dans la neige et la glace, 1000 mètres au dessus du Léman. Et là, surprise, un lac d’eau libre. On m’explique que c’est de l’eau du Léman, pompée pendant la nuit grâce à l’électricité française, et qui va permettre de produire de l’électricité à la demande. J’avais déjà remarqué, en randonnée d’été vers Arolla, un ingénieux système de pompage d’eau entre plusieurs barrages en cascades, mais sans comprendre la finalité.
    Les Suisses savent maintenant stocker avec leurs barrages et lacs d’altitude, l’électricité à grande échelle.
    Et quelle électricité ? Celle bradée quelques centimes le kW.h par EDF en période creuse principalement, et revendu en période de pointe, jusqu’à près de 2 Euros le KW.h cet hiver, à la France, mais aussi au reste de l’Europe, en particulier l’Italie...
    Mais la bonne question, pourquoi EDF produit des surplus d’électricité en période creuse ?
    Tout simplement grâce au trop grand nombre de centrales nucléaires, que l’on ne sait pas arrêter d’un claquement de doigt comme un barrage ou une centrale classique. On ne sait pas non plus piloter sa puissance, question de rendement et de technologie qui date de l’époque du minitel !

    Ainsi, d’un point de vu purement économique, le parc de centrales nucléaires ne devraient pas dépasser nos besoins en période creuse.

    Conclusion : Si Monsieur Hollande a signé pour une baisse de 30 % de la part du nucléaire, ce n’est parce qu’il est écologiste, c’est simplement par bon sens économique !!!

    3.04 à 21h17 - Répondre - Alerter
  • Le principal argument entendu est : "Le nucléaire ne produit pas de gaz à effet de serre !". En décortiquant les chiffres donnés par IEA, on se rend compte que le nucléaire ne représente que 2,1% de l’énergie produite dans le monde. De quoi donner à réfléchir sur le réel impact du nucléaire sur le réchauffement climatique.
    Un référendum permettrait d’éclairer les français sur les chiffres réels.

    30.03 à 10h43 - Répondre - Alerter
    • @ LM : connaissez-vous les quantités de CO2 émises pour produire 1 kWh d’électricité utile avec du nucléaire et avec du charbon ?

      Je vous laisse chercher parce que j’ai pas envie de rallumer mon gros ordi sur lequel j’ai le logiciel Bilan Carbone. Je trouve que quand on prétend réfléchir, il faut faire des efforts : aller chercher des infos, faire des petits calculs, comparer avec d’autres infos... Si on a quelque chose d’intéressant à dire, on le dit. Si on a des questions à poser, on les pose. Sinon, moi, on m’a plutôt appris à me fermer ma gueule quand j’avais rien à dire : j’ai une formation scientifique, et avec les scientifiques, faut pas trop parler pour rien dire.

      Dire "Un référendum permettrait d’éclairer les français sur les chiffres réels" me fait mourir de rire ! Vous voyez ce que ça coûterait au pays pour avoir une info disponible sur le web ?

      Pour le prix d’1/100 de référendum, je vous donne ces 2 chiffres + 1 gratuit. Avec facture et tout ! Le temps d’un pro, ça vaut de l’argent. Cool, non ?

      Et pour réfléchir, allez-donc faire un petit tour sur ce site : http://tribune-pic-petrolier.org Peut-être qu’en cliquant sur les bons liens, vous allez trouver les infos que vous cherchez, et plein d’autres encore : bonne réflexion !

      Oubliez-pas de signer en partant !

      12.04 à 11h57 - Répondre - Alerter
  • Il me semble qu’aucun média français n’en ai parlé, à l’exception de la chaine Arte, qui est, rappelons le, à moitié Allemande...
    Sur Arte, lors d’un reportage pour le premier anniversaire (sic) des explosions de Fukushima, on y apprend des mots nouveaux tels que "criticité instantanée", "réaction en chaine indésirable".
    En regardant sur You tube, on voit très bien les différences entre les explosions des réacteurs 1 et 3 : Petite explosion d’hydrogène sur le n°1, petite explosion ... nucléaire (?) sur le n°3, avec gros panache de poussière s’élevant très haut et dispersant .. du MOX, en clair, du plutonium ....

    Il me semble que NKM a toujours uniquement parlé d’explosion d’hydrogène ? ! !

    27.03 à 20h41 - Répondre - Alerter
  • Pour répondre au commentaire ci dessous, oui le photovoltaïque solaire est l’énergie renouvelable la plus chère. Mais il est extravagant de dire qu’il y a un facteur 10 avec l’energie nucléaire

    J’ai lu qu’en Allemagne, pays moins ensoleillé qu’une bonne partie de la France, en 2011, le coût de production du KW.h solaire est tombé à 20 centimes pour des panneaux intégrés aux toits (et dans certains cas à 15 centimes pour une centrale au sol mais qui présente le désavantage d’occuper des espaces naturels).
    A comparer au coût du nucléaire, 9 centimes pour l’EPR d’après la Cours des compte, auquel il faut ajouter le coût des subventions au Nucléaire (voir autre commentaire), environ 5 centimes, et .. le coût de l’acheminement par le réseau, soit aussi environ 5 centimes. Le Nucléaire est une énergie très centralisée nécessitant un réseau très dense et couteux, tandis que l’energie solaire diffuse est consommée sur place, ou au pire, chez le voisin.

    La parité entre le coût de l’énergie renouvelable la plus chère, le photovoltaïque solaire, et le nucléaire, est donc atteinte bien avant la mise en service du 1er réacteur EPR.
    Si NKM et son gouvernement persiste dans l’option nucléaire EPR, c’est bien par idéologie et non sur une base économique saine !

    27.03 à 07h41 - Répondre - Alerter
  • Bon, je vois qu’un des commentateurs, bien que ne lésinant pas sur la provocation, a du mal à se faire comprendre.

    Les doux rêveurs qui croient que l’urgence est de sortir du nucléaire n’ont pas compris qu’en disant ça, ils se font les alliés objectifs de ceux qui nous mènent droit vers le chaos social et un réchauffement climatique incontrôlé. Les 2 premières urgences pour l’énergie sont de faire face au défi du pic de production du pétrole pour éviter le chaos social qui nous guette et de réduire nos émissions de CO2. Dans les 2 cas, il s’agit de sortir des énergies fossiles et nous n’y échapperons pas car le pic de production du gaz vient juste derrière celui du pétrole, et nous avons renoncé au charbon. Alors, si on regarde les chiffres, il nous reste plus grand chose comme source d’énergie.

    Avant de parler des solutions énergétiques pour le futur, je vous invite à rejoindre l’appel à mobiliser la société face au pic pétrolier ici :

    http://tribune-pic-petrolier.org/

    Vous verrez que parmi les 1ers signataires, figure un anti-nucléaire bien connu (Yves COCHET) et un pro-nucléaire bien connu (Jean-Marc JANCOVICI) : un symbole !

    Cet appel est non-partisan et doit traverser toute la société : merci d’en parler autour de vous !

    ElaX est le 2ème signataire en ligne : il agit dans l’ombre comme en pleine lumière et fait partie des enragés qui iront jusqu’au bout : 7 milliards et quelques d’êtres humains à convaincre.

    25.03 à 21h50 - Répondre - Alerter
    • Je suis d’accord c’est bientôt le chaos : pic pétrolier (toute notre activité est basée dessus, notamment l’agriculture), réchauffement climatique qui va avec.Pollutions diverses et variés, le nucléaire étant la plus sérieuse pollution potentielle, puisqu’elle est très durable et que la radio-activité s’insère partout et quasiment pour toujours ! Et bien figurez-vous qu’il y a pire : lamoule ? même pas encore pire, incroyable non ! suspense.....les banques ! Le système monétaire mondial est basé sur une vaste supercherie, les banques centrales qui devraient être nationales sont soit privées soit s’interdisent de prêter directement aux états.Ainsi et rien n’est dû au hasard, les banques privées sont un énorme parasite sur notre dos, tellement gros qu’on ne peut même plus s’en apercevoir, en France cela fait 40 années, depuis 1973, et bien vérifiez mes amis, c’est la date limite des trente glorieuses.trente glorieuses et loi Pompidou sont le point de jonction de notre mise en esclavage moderne par les banquiers, depuis tous les impôts sur le revenu sont engloutis dans une dette inique qui engraisse l’énorme parasite bancaire.http://archives-lepost.huffingtonpo...

      26.03 à 10h15 - Répondre - Alerter
      • Je suis d’accord avec certains aspects de votre commentaire, mais pas tous.

        Notre tribune est centrée sur le problème du pic pétrolier, et tout le monde devrait prendre en compte cette réalité.

        Les causes ? C’est un autre débat, mais je partage votre avis que le système financier porte une lourde responsabilité dans ce qui nous arrive. D’un autre côté, tout le monde marche avec le système, qui lui est complètement absurde : les politiques sont soit impuissants devant les problèmes, soit aveugles, soit complices, mais le simple citoyen, à son échelle, a plus de libertés d’agir : c’est aux citoyens de décider si nous devons laisser entraver notre liberté pour suivre la fuite en avant du système ou s’il est urgent d’empêcher cette attitude suicidaire.

        Les solutions ? D’abord la sobriété heureuse autant que possible pour éviter un régime sec imposé par l’extérieur. Pour le nucléaire, nous ne sommes pas d’accord, mais il est sain que nous ne soyons pas d’accord sur les solutions : les solutions ne seront acceptées par la collectivité qu’après un débat contradictoire (les experts, les pro, les anti, l’avis des citoyens...).

        Après la prise de conscience (reconnaître le problème), la société est mûre pour le débat sur les solutions.

        26.03 à 12h47 - Répondre - Alerter
        • On ne s’en sortira pas sans la volonté du peuple, peuple qui n’a plus son mot à dire, déjà première chose il nous faudrait au minimum un référendum d’initiative populaire, plutôt que de faire signer des pétitions dans le vide, ces mêmes pétitions lance le référendum lorsqu’elle atteignent leur but, un pourcentage de la population qui reste à définir.A partir de ce référendum d’initiative, le peuple redevient quasiment souverain.Aujourd’hui nous n’avons rien, juste nos yeux pour pleurer, les élections sont orientées voir trucquées, le bipartisme est un fléau organisé contre son peuple.

          27.03 à 17h51 - Répondre - Alerter
          • @ art-léger : si vous pensez, à juste titre selon moi, que c’est le système soi-disant démocratique dans lequel nous vivons qui doit être changé, rejoignez le combat d’Etienne CHOUARD pour l’écriture d’une constitution par les citoyen(ne)s. Et sur le forum du plan C, vous retrouverez un dénommé ElaX.

            Le but de la tribune est de rassembler tout le monde (droite-gauche ; croyants et non-croyants ; pro et anti) sur le constat du problème, du gros défi qui est devant nous. Et quand tout le monde aura reconnu qu’on a un gros problème, on pourra débattre des solutions de manière un peu sérieuse ; tant que les gens n’ont pas reconnu qu’il y avait un gros problème et continuent de rêver à une croissance qui ne viendra pas, on n’avance pas.

            Sous réserve de vérification, Corine LEPAGE a signé aujourd’hui, mais il y a déjà d’autres député(e)s qui ont signé. Il y a plein d’ingénieurs, des entrepreneurs, des chômeurs, des instituteurs, des agriculteurs et plein d’électeurs !

            2.04 à 01h32 - Répondre - Alerter
            • Je suis d’accord avec le constat, c’est sur le moyen d’en sortir aussi qu’il y a un gros problème.Je pense que les petits partis sont les dissidents du système, seulement tout est fait pour qu’on ne les entende pas qu’on ne les voit pas.On se retrouve donc toujours avec les mêmes, l’Umps.Dans ces conditions le vote utile laisse rêveur.Je sais pas si les gens se rendent bien compte que toute l’europe va finir comme la grèce, effet dominos garantit avec l’approbation du Ps et de l’Ump.Ils ont complètement perdus les pédales, n’ayons pas peur des mots ces gens sont des criminels, ils nous mènent à la ruine et au chaos.Le seul vote utile c’est de voter contre le système, vous ne pouvez plus vous fiez aux médias, à l’Ump et au Ps.Ils ont le même discours pour le même résultat : la faillite totale.Pour que la banque gagne.C’est pire que de la science fiction, on est jamais déçu avec la réalité si on aime se faire peur.

              3.04 à 22h21 - Répondre - Alerter
              • @ art-léger : pour tout vous dire, je suis consultant et il y a une chose qui est très claire :
                - tant que les gens ne sont pas mis d’accord pour dire : "le problème, c’est ça", les choses en peuvent pas avancer correctement
                - une fois que le problème est posé et que tout le monde est d’accord sur sa définition, la partie la plus difficile est faite et on peut commencer à débattre des solutions.
                - évidemment, il y a plusieurs solutions possibles et les gens ne sont pas d’accord au départ, mais finissent par trouver un consensus

                Actuellement, nos partis politiques sont dans le déni de réalité : tant qu’il ne sera pas dit et répété haut et fort que nous devons faire face à un défi énorme, il n’y a aucune chance que les programmes des candidats soient en mesure de répondre à ce défi, et nous allons vers le chaos.
                Business as usual ==> effondrement de notre société

                http://tribune-pic-petrolier.org

                4.04 à 00h42 - Répondre - Alerter
  • Y aurait il besoin d’un référendum si le nucléaire n’était pas pas subventionner implicitement ?
    Sur 3 points :
    La prime de risque impayée :
    Dans un accident type Fukushima, à 300 milliards d’euros le sinistre, c’est l’état et la "collectivité" qui paiera la note, pas EDF. Il serait donc tout à fait fondé qu’EDF paye une prime d’assurance annuelle à l’Etat, de quelques % du sinistre, soit environ 2 centimes le kW.h !
    Les coûts de l’état en recherche et développement :
    Les coûts du passé, car l’état s’est endetté, du présent, mais aussi une provision pour le futur, car lors qu’il n’y aura plus de centrales, il n’y aura plus de ressources. Il serait donc normal que le consommateur qui bénéficie implicitement de ces recherches paye une taxe d’au moins un centimes du kW.h, pour couvrir au moins une partie des frais.

    Enfin, les coûts du démantèlement :
    Provisionnés seulement pas des astuces comptables et sous-estimés, on devrait imposer à EDF l’achat de titres d’Etat à concurrence d’au moins 100 milliards sur 10 à 15 ans, soit 2 centimes de surcout par kW.h.

    Avec 5 centimes de plus par kW.h l’energie nucléaire n’est plus compétitive, EDF est plus cher qu’ Enercoop pour les particuliers, par exemple.... CQFD

    Nota : Ne subventionnant plus le nucléaire, l’état n’a plus besoin non plus de subventionner le renouvelable, ce qui permettrait de baisser la TVA à 5,5% sur l’électricité sans déséquilibre (supplémentaires) des comptes publics, et limiter la hausse du kW.h sur les particuliers.

    Nota 2 : Une TVA réduite à 5,5% devrait être appliquée sur toutes les énergies, dont les énergies carbonées, mais avec une hausse compensatoire de la TIPP pour éviter tout effet d’aubaine. Cela limiterait très simplement la volatilité actuelles des prix, sans passer par l’usine à gaz technocratique d’une TIPP flottante.

    Hugo78

    25.03 à 18h22 - Répondre - Alerter
  • Ministre de l’environnement ? Non, petite chienne chienne à son maîmaître !!
    Pourquoi un référendum sur le nucléaire ? Ils savent, eux, ce qui bon pour nous !

    Et tout le monde donnait la position de Sarkozy sur le nucléaire et l’environnement !!!
    C’est dur d’être gouvernés par ces minables§ !!!!!§§§§§

    25.03 à 18h16 - Répondre - Alerter
  • NKM, plus faux-cul tu meurs...
    Des arrivistes surpayés à rien foutre !
    Nucléaire, pas de problème.
    Gaz de schiste, étudions pour mieux faire passer la pilule...
    Photovoltaïque, éolien, marée-motrice, pas trop vite, cela pourrait nuire au nucléaire.
    Alimentation les Verts sont vraiment pourris de l’intérieur, après que l’U.E. ait toléré un % de graisse animale dans le chocolat sans que personne ne bronche, maintenant, c’est toute la filière bio qui part en couille avec une multitude d’allègements votés en douce grâce à NKM....
    Mais ce ne sera pas mieux ni avec la Gauche ni avec les autres Verts de gris...
    Collectif REC.

    24.03 à 20h37 - Répondre - Alerter
  • Bonjour, si l’on peut dire ... Que l’on me pardonne ce texte un peu long.
    Mme NKM a perdu aux yeux d’un grand nombre de Français toute sa crédibilité. Son discours ne m’intéresse donc plus. En outre, elle n’a jamais vraiment été une grande défenseuse de la chose écologique dans ce pays, du moins si elle l’a été de par ses fonctions, ce fut sans grande conviction. Elle a été cantonnée au rang de "clodette" du monarque et maintenant à celui de la "voix de son maître", pur susucre ! Bla-bla and Co ! Regardons les choses en face : nous nous faisons avoir depuis Borloo qui avait été mis en place uniquement pour une opération séduction de grande envergure, afin d’amuser la galerie, de nous occuper, pendant que sa majesté vaquait à ses "affaires". Il ne suffit pas d’avoir une « gueule » ou de gesticuler pour être un bon ministre ou un président. Du Grenelle de l’Environnement, il ne reste, hélas, que des miettes. Et M. Borloo, qui n’a jamais eu, lui non plus, l’âme d’un écologiste, s’en est allé vers d’autres horizons, plus "profitables", sans doute. Triste bilan, au final !
    Il y avait dans ce pays un potentiel humain et technique de grande valeur, et des conditions géographiques, climatologiques extraordinaires en matière d’écologie. Tout cela a été foulé du pied, tué dans l’oeuf pour l’unique profit du nucléaire et du tout électrique, dont n mesure maintenant le coût et les limites. C’est "massacre à la tronçonneuse" en 3D ! Nous mettrons des années à nous en remettre parce que nous aurons laissé à d’autres pays le soin de rafler tous les marchés disponibles. Le cas de l’entreprise de pointe Photowatt est emblématique de ce processus et de choix politiques aberrants, car la racine du mal est bien là ... Si Photowatt avait été une banque privée, elle aurait été renflouée illico presto à coup de centaines de millions d’euros. D’argent public, s’entend.
    Et maintenant, on va "achever" notre pays en le donnant en pâture aux compagnies pétrolières dans leur quête frénétique de gaz de schistes. Elles vont défoncer les sous-sols, détruire la nature, polluer irréversiblement les nappes phréatiques sur leur passage, rendre notre eau quotidienne imbuvable et inutilisable (même pour se doucher !), libérer des milliers de tonnes de méthane dans l’atmosphère (17 fois plus polluant que le CO2 !), sans compter les séismes locaux, le défonçage des routes, et les millions ou milliards de litres d’eau gaspillés pour la fracturation hydraulique ! Et lorsque ces compagnies en auront fini avec un site, elles s’en iront en nous gratifiant de leur "merde" qui ne peut être retraitée car ça leur coûterait trop cher. Vous aimiez la campagne ? Vous allez apprendre à la fuir. Et n’oubliez surtout pas que vous ne pourrez même pas revendre votre jolie gentilhommière ou maison ancienne restaurée à grands frais pour pouvoir changer de région. Personne n’en voudra, donc elle ne vaudra plus rien !!!
    Les Français ne se rendent pas compte de la catastrophe qui les attend aux plans humain, sanitaire, écologique, patrimonial, etc... Si vous n’en êtes pas conscients ou convaincus, regardez le documentaire "Gasland" : tout y est dit. Ce n’est pas une fiction. C’est le même scénario qui nous attend. Il faut donc une mobilisation générale de tous, même de ceux qui ne se croient pas directement concernés aujourd’hui, car ils le seront demain ! Ils peuvent au moins dans un premier temps de signer des pétitions sur internet (cf, par exemple le site très actif de CyberActeurs).
    Le monde marche sur la tête, notre pays en particulier : au lieu de prendre les problèmes à bras-le-corps et de façon logique en matière d’énergie, d’anticiper, ce qui devrait être le propre de tout responsable politique. Mais la seule chose qui compte pour le pouvoir actuel, c’est ce qui rapporte immédiatement (les actionnaires, encore et toujours !). Donc, aucun investissement à moyen et long terme dans des énergies "propres". Honte à ce président qui se permet de cracher sur l’écologie pour faire plaisir à ses « amis » grands industriels ! On comprend mieux pourquoi il refuse un référendum sur le nucléaire. J’ai honte pour mon pays ! Merci d’avoir eu le courage lire jusqu’au bout. Gerald D.

    23.03 à 16h02 - Répondre - Alerter
  • Vive le gaz de schiste et lamoule nucléaire ! Même pas cap’ de gérer ses déchets, l’humanoïde noie les solutions existantes déjà, sous des chiffres pour asseoir le poids de ses prétentions.
    Et d’abord pourquoi Total n’a toujours pas réussi à copier/coller Chevron ?

    23.03 à 12h02 - Répondre - Alerter
  • Il suffit de retenir les propos de Sarkozy au salon de l’agriculture" l’écologie ça commence a bien faire" .
    Le pouvoir de l’argent dont elle est la digne représentante, se moque de la santé et de la sécurité sanitaire des gens. NKM sert de "faire valoir" à la droite et elle me fait pitié .....

    23.03 à 08h55 - Répondre - Alerter
  • 1 référendum ne fera qu’appuyer le mécontentement du peuple envers les aberrations gouvernementales...Donc à surtout éviter, n’est-ce pas ? La dictature= fermes ta gueule et la démocratie =causes toujours

    22.03 à 10h02 - Répondre - Alerter
    • Nous ne sommes plus en démocratie depuis longtemps, le système électoral est une mascarade dans la mesure ou le bipartisme nous est imposé par le financement de la campagne, comme aux états-unis d’ailleurs, le choix entre umps est un leurre ! et d’ailleurs on peut le vérifier simplement, ils sont interchangeables (exemple du FMI : Mme Lagarde-Mr DSK).Le système du bipartisme est en soit une dictature qui ne dit pas son nom, la jambe gauche et la jambe droite d’un dictat financier occulte qui garde son cap.Si vous avez compris ceci, déjà çà donne une idée précise du piège qu’est le vote utile, si on veut sortir de l’ornière ultra dangereuse ou nous nous trouvons, il nous faut sortir du bipartisme et donc voter pour les petits partis qui ont réussis à passer les parrainages.La plupart de ces petits partis d’ailleurs savent que l’europe est un piège qui est entrain de se refermer sur nous.Notre situation est dramatique si on revote pour les mm, c’est le coup de grâce, sans doute pire que ce que l’on peut imaginer.

      22.03 à 13h34 - Répondre - Alerter
  • on en a marre des des pseudo ministre écolo de droite comme Mme NKM !

    oui on veut un referendum sur le nucléaire,sur le gaz de schiste,sur les OGM etc.,
    Politiquement n’oublions pas que l’écologie en France fait 16 à 23 % aux élections locales et Européennes. n’en déplaise aux aigris de la vie politique.
    bin évidemment a cette élection présidentielle comme aux autres d’ailleurs c’est un score très bas,mais il ne reflète pas la réalité.

    les électeurs vote utile pour les gros candidats et les médias en bon toutou suivent la meute.
    http://eelv.fr/

    L’écologie politique c’est quoi ?

    Elle s’inscrit dans la lignée de théories et de mouvements politiques, tels que le mouvement ouvrier, la démocratie républicaine, le socialisme, le féminisme, le régionalisme, etc. Elle est née dans les années soixante-dix, suite aux événements de mai 68 et aux chocs pétroliers. Et aussi en réaction croissante de certains êtres humains (organismes) face à la destruction de l’écosystème (leur milieu). L’écologie politique lutte contre l’uniformisation de la culture et des productions. Elle se bat pour la reconnaissance des minorités et l’égalité de leurs droits. Une de ses originalités réside dans la mise en place de priorités différentes, dans une volonté de remettre le citoyen au centre du débat politique.

    21.03 à 19h15 - Répondre - Alerter
  • Des referendum(s) sur le nucléaire, sur la destruction des services publics, sur l’action sociale ou sur la politique éducative, présenteraient l’immense défaut de recueillir l’avis du peuple A L’ISSUE DE DEBATS APPROFONDIS ET DEMOCRATIQUES. Insupportable.
    NKM est un parfait produit du principe énarchique de "la langue de bois dans une bouche de velours". Une future parfaite candidate aux primaires de la droite en 2017. Même chose pour Mme Pécresse, moins belle peut-être mais aussi ambitieuse. On parie ?
    Le Grenelle, depuis le début, est une parfaite escroquerie intellectuelle, écologique et morale. Le Grenelle 2 est un pur produit marketing, sans fond et sans cohérence. Total respect pour les esprits étroits et leur impuissance. Je voulais dire : totale compassion.
    Non, aucune excuse pour ces cinq ans qui ont mis la fonction publique à genoux. La RGPP est une catastrophe totale. Les fonctionnaires supprimés ont été remplacés par une sous-traitance débridée offerte aux bureaux d’études privés, pour des coûts bien supérieurs et des résultats très discutables. CapGeminy, KPMG, Ernst&Young et bien d’autres multinationale du conseil en sont les bénéficiaires. Et nous, les dindons de la farce...

    20.03 à 16h08 - Répondre - Alerter
  • Tout va bien, c’est pire ailleurs, ce n’est pas de notre faute, etc.... elle ne se remet jamais en question. C’est ridicule.

    L’écologie est une catastrophe sous ce quinquennat.

    19.03 à 13h46 - Répondre - Alerter
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