Et ce malgré un été pourri puisqu’il a plu ces derniers mois 30% de plus que de coutume*. Les cumuls ont même été « deux à trois fois supérieurs à la normale sur le Nord-Ouest », souligne le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).
Alors quoi ? En fait, certaines régions payent encore le prix de plusieurs années de « déficit pluviométrique », selon l’organisme. C’est le cas du Bassin parisien et du Sud-Ouest. A l’inverse, la situation semble meilleure dans le Sud-Est du pays (Languedoc Roussillon, Provence Alpes Côte d’Azur) et à l’Est (Alsace).
* soit par rapport à la moyenne de référence calculée sur les années 1971 à 2000.
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