Après Terra eco en octobre, The Economist se lance dans la bataille. L’hebdomadaire britannique se penche sur le rapport entre démographie et avenir de la planète. Il se félicite de la constante baisse de la fertilité dans le monde, notamment dans certains pays émergents où la quête du bien-être matériel est devenu plus essentiel que de constituer une famille. Mais ne serait-ce pas oublier que la population mondiale continue à augmenter, « applaudir le capitaine du Titanic pour se diriger moins vite sur l’iceberg » ? « Le déclin de la fertilité peut améliorer la vie des gens modestes mais il ne peut pas sauver la Terre. Ça, ça dépend de nous. », conclut l’auteur de l’article.

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