En réponse à :
5 février 2017 09:09, par Larix
Bonjour et bravo ! Bravo parce que relever la tête et repartir avec le même nom dans le même métier après une faillite en France, c’est mal vu et peu courant. Pays ou l’échec est très mal admis, de l’école primaire au monde professionnel. Vous donnez ainsi de l’espoir ! Je partage le regret du papier, le toucher, la fatigue des yeux, le partage et pour l’épluchage des légumes ... J’ai 2 idées (que vous avez probablement déjà évoqués, mais bon ...). Pensez vous pouvoir passer d’un semestriel à un trimestriel, sur le thème à chaque saison son N° ? Et une seconde qui consisterait à proposer aux lecteurs abonnés (...)