En réponse à :
31 mars 2016 23:55, par Guillaume
Et j’ajouterai qu’en favorisant les déplacements à pied, on multiplie le nombre de piétons présents en cas d’agression dans la rue ou dans les transports. Ces personnes pourront potentiellement intervenir en cas de harcèlement sexuel, ce que ne feront pas les automobilistes. Les automobilistes ne s’arrêtent déjà pas pour laisser passer les piétons aux passages cloutés alors que ces derniers ont la priorité, ils s’arrêteront encore moins pour venir en aide à une femme recevant des "compliments" ! D’une part parce qu’ils n’entendent pas ce qui se passe sur les trottoirs, et d’autre part parce que quand on (...)