En réponse à :
3 décembre 2015 15:48, par Glab
Il y a le capitalisme et le capitalisme sauvage. Le capitalisme sauvage n’a pas de valeur au sens de l’humanité. Fabriquer au coût minimum pour un profit maximum et le plus vite possible, tout en sachant que l’on détruit la terre mère, que l’on exploite des populations ( souvent des enfants) dans des conditions indicibles. Quelques hommes possèdent maintenant une très grande partie de la richesse mondiale et dirigent de cette façon nos petits politiciens. Comment changer tout ça ? OUFF ! Peut-être fallait-il que l’homme soit le prédateur de l’homme ?... La planète ne va pas endurer notre "triste (...)