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25 novembre 2015, par Amélie Mougey
Cette année, le quotidien britannique a remballé ses 800 millions de livres placées dans les énergies sales.
Il s’agit de « la plus grande histoire au monde » mais elle n’a fait « que très rarement la une du Guardian ». Du moins jusqu’en mars. A la veille de son départ, Alan Rusbridger, l’ex-rédacteur en chef du quotidien britannique, exprimait un regret : ne pas avoir traité « l’immense, imposante, écrasante question » du changement climatique comme elle le méritait. Il n’est jamais trop tard. Après ce (...)