En réponse à :
26 novembre 2015 06:54
Pendant près de quarante ans, 70 à 90 hectares des terres fertiles de Moulon à Gif-sur-Yvette, situés à deux pas des bureaux des chercheurs dont vous parlez dans votre (excellent) article, ont permis à la recherche agronomique d’avancer sur le chemin de la connaissance de la génétique du blé et du maïs. Mais aujourd’hui, plusieurs dizaines de milliers de ces micro-parcelles, fort utiles à l’agriculture française dans son ensemble, ont été rasées sous le prétexte du projet de cluster pourtant qualifié de "scientifique" de Paris-Saclay et seront bétonnées, comme le seront des dizaines d’autres hectares de (...)