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25 novembre 2015, par David Solon
Le métier de journaliste a bien entendu ses privilèges. Franchir les portes, exiger réponse à toute question, aussi branlante soit-elle, chausser les sandales d’Hermès et se faire messager. Il impose aussi de monter en première ligne, au prix, parfois, du danger. A Terra eco, la première ligne est toute particulière. On y croise des chiffres et des mots. Des échelles de temps. Des sages, qu’ils soient philosophes ou scientifiques. A force de les côtoyer, on finit d’ailleurs par avoir mal d’écouter. (...)