En réponse à :
25 novembre 2015, par Edgar Morin
Une tribune du philosophe Edgar Morin, après les attentats qui ont frappé Paris et Saint-Denis, le 13 novembre dernier.
La France, au lieu d’intervenir pour créer les conditions d’arrêt de la guerre de Syrie, s’est rangée parmi les combattants. Au lieu de considérer que le préalable à toute issue est l’arrêt des combats, c’est-à-dire des massacres, elle exige comme préalable l’élimination de Bachar Al-Assad (le président syrien, ndlr).
Point besoin d’être un Clausewitz (1) pour savoir que, plutôt que (...)