En réponse à :
25 août 2015 20:03, par 37elisabeth02
« il y a très peu d’éléments permettant de conclure à un déclin des populations » C’est bien la le problème. Dès la mise en marche des machines les prédateurs apprennent très vite à venir quotidiennement se servir des petits cadavres tombés dans le périmètre. Il n’y a donc pas de traces. Mais ce n’est pas pour cela que le "crime" n’existe pas. Et dire que les éoliennes ne tuent pas plus que les immeubles ou les chats c’est quand même gonflé. Cela revient à dire dire : "Il y a déjà pire atteinte à l’environnement, pourquoi me gênerais-je à en rajouter ? " C’est un déni du cumul des impacts environnementaux. (...)