En réponse à :
3 juin 2015 10:35, par bazhudek
Sans doute parce que la classe politique, dans sa très grande majorité, utilise l’écologie comme une opportunité de communication et non comme une opportunité de progrès. Sans doute parce que cette classe politique, formatée par les mêmes moules, pétrie des mêmes certitudes est incapable de dépasser le modèle économique qu’elle a appris et définit les priorités ailleurs. Sans doute parce que les discours alarmistes génèrent un stress de plus et donc un rejet dans une période sans visibilité ni projets de société à moyen terme. Sans doute parce que les réglementations sont vécus comme des contraintes de (...)