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19 mai 2015, par www.clairelenestour.com
Quand on pense à la guerre qui secoue la Syrie depuis quatre ans, on pense d’abord au massacre de la population, à l’exode de centaines de milliers d’habitants et à la destruction de villes millénaires. A Alep, dès les premiers jours du conflit, Ahmed Amri, directeur du département des ressources génétiques du Centre international pour la recherche agricole en zone aride, a également imaginé les pertes « végétales » que le conflit pourrait générer. Avant que la Syrie ne devienne synonyme de guerre civile, (...)