En réponse à :
20 mai 2015 12:33, par patol44
La démarche est très intéressante, en termes de conversion progressive, mais également par l’implication du CNRS sur la qualité de l’air et de l’eau.
Cependant, je suis persuadé que la recherche de semences bio plus efficaces conduira à délaisser les qualités nutritives et gustatives. Il suffit de comparer les fruits et légumes bio de supermarchés à ceux distribués en amap pour avoir déjà un aperçu des différences gustatives. S’agissant des qualités nutritives, je vous invite à lire l’article de Terra eco : http://www.terraeco.net/Pourquoi-un...
Et puis, cet agriculteur cultive 210 hectares de céréales, qui (...)