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29 avril 2015, par Cécile Cazenave
En cas de séisme, mieux vaut vivre dans un pays riche que dans un pays pauvre. C’est avant tout le sous-développement qui met les gens en péril.
Alors que le bilan du séisme qui a secoué le Népal il y a quatre jours atteint maintenant plus de 5000 morts, les statistiques élaborées sur un siècle montrent que mourir dans un tremblement de terre n’est pas une fatalité. Les nations en voie de développement payent cher et doublement une telle catastrophe naturelle : en nombre de morts et en richesse (...)