En réponse à :
25 mars 2015, par Amélie Mougey
Il s’agit de « la plus grande histoire du monde » et pourtant « le journalisme n’a jamais réussi à la raconter ». A la veille de son départ du Guardian, après vingt ans à la tête de la rédaction, Alan Rusbridger se repent. Dans un mail envoyé à ses équipes en décembre, puis dans une lettre ouverte à ses lecteurs, le rédacteur en chef du quotidien britannique exprime son seul regret : ne pas avoir pas traité « l’immense, imposante, écrasante question » du changement climatique comme elle le méritait. Ce (...)