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19 mars 2015, par Amélie Mougey
Les députés planchent cette semaine sur la loi biodiversité. Au menu, le renforcement du principe qui veut que toute destruction de nature soit « réparée » via la préservation d’autres zones. Une démarche périlleuse, selon la philosophe Virginie Maris.
Peut-on se racheter d’avoir bétonné des hectares de forêts en plantant des haies ? Se dédouaner d’avoir détruit des coins de nature en en préservant d’autres ? En 1976, le « principe de compensation » apparait dans le droit français. Allègrement contournée (...)