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25 mars 2015, par Isabelle Hartmann
L’industrie veut plaire au plus grand nombre ? C’est le plaisir qui trinque. L’agroalimentaire réduit du même coup les coûts… et les goûts.
Des goûts et des couleurs, on ne discute pas ? Que nenni ! « On peut évaluer si un produit est plus ou moins sucré, salé, épicé, doux, amer, en décrire les arômes, la densité de son goût, si celui-ci est présent au premier degré ou en arrière-bouche », énumère Pascale Grelot-Girard d’une traite. Depuis douze ans, elle est directrice du département Innovation et (...)