En réponse à :
25 mars 2015, par Simon Barthélémy
De Grégoire Souchay et Marc Laimé, Seuil-Reporterre, 144 pages, 10 euros.
Mort parce qu’il refusait la destruction de 40 hectares de forêt et de prairies, quand 200 hectares sont bétonnés chaque jour en France. Tué par la grenade d’un gendarme pour son opposition à un barrage qui cumulait les avis défavorables (de l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques, du Conseil national de protection de la nature…) superbement ignorés par le conseil général du Tarn – à la manœuvre – et l’Etat. Le 26 (...)