En réponse à :
19 avril 2015 16:54, par Anubis11
C’est pas le fait de féminiser des mots qui me choque, mais c’est la façon de le faire. Par exemple dire une auteure, alors que les mots masculins se terminant en "eur" se féminisent en "ice" (instituteur, institutrice) ou en "euse" (conteur, conteuse). Et si pour une femme titulaire d’un poste de PDG il faut devenir pédégée pour affirmer sa féminité, il est dommage de ne pas dire "Présidente-directrice" (et non directeure...) Je ne sais pas où vous êtes allés chercher mon mépris du féminisme... ce n’est pas parce que je réprouve certaines pratiques extrémistes de cette cause, que je ne défends pas le (...)