En réponse à :
18 février 2015 09:10, par bert
Tout devient venal, plus de partage simple. Pour embarquer comme équipier, il suffisait de demander sur les pontons, et on trouvait toujours un bateau qui avait besoin de bras ; pour se déplacer, on faisait du stop, et, toujours, quelqu’un s’arrètait, on pouvait même dormir dans une grange, avec l’aimable accord du fermier, ou dans un presbitaire ;; ; Maintenant, faut réserver, raquer, consommer. Je déteste ces petit profiteurs qui font du fric en dévoyant des systèmes de partage qui fontionnaient. A quand le coavionnage, le covélotage, le cochevalage, le cobricolage, le codéjeunage, le (...)