En réponse à :
20 décembre 2014 10:09, par lili
Ok pour l’argument anti gaspi, mais vous ne posez pas toutes les questions :
1. ne vaudrait -il pas mieux réduire les quantités dans les plats, ou commander moins ?
2. Vous jugez qu’il faut faire évoluez les mentalités. Soit, mais il y a quelque chose de bon dans ce refus de remporter chez soi : cela signifie que ce qui importe n’est pas juste de se nourrir, mais le fait de partager un repas (la commensalité). Et cette valeur de convivialité est essentielle pour bien manger, et ne pas faire comme les Américains, qui certes ont des doggy bags (mais avez vous vu les portions que l’on y sert au (...)