En réponse à :
17 décembre 2014 16:27, par Chimel
"On parle ici d’agriculture de subsistance qui a choisi les méthodes non chimiques, pas d’exploitations industrielles." Non, on ne parle d’agriculteurs au RSA, mais essentiellement de maraîchers bio professionnels qui font vivre leur famille voire même des ouvriers de leur métier. Cela signifie également avoir un revenu suffisant pour inclure une provision annuelle pour les impondérables de la saison suivante, comme n’importe quelle entreprise commerciale.
Le soutien par les consommateurs eux-mêmes me semble un peu ambigu et hypocrite : personne n’envoie de chèque à l’avance à son cordonnier. (...)