En réponse à :
24 novembre 2014 15:45, par Darna
Toujours la sempiternelle compétitivité et les rapports de force pour tirer les couvertures à soi. L’état de la planète exige la mutualisation des compétences et des outils. A l’heure du net, facebook and autres twitters, il me semble qu’il est possible de bosser en international sans contribuer à encore d’autres pollutions et gaspillages des ressources. Les sommets à grands renforts de transports par avion, multiplication des cérémonies dorées et toutes les cohortes de gardes du corps, et autres suites de la prétention...pour palabrer des problèmes écologiques en y contribuant officiellement en masse (...)