En réponse à :
8 octobre 2014 02:58, par Karinka Rine
Ayant grandi à la campagne et profité de la liberté de marcher, puis vécu à la ville (Paris, tant qu’à faire), j’ai toujours ressenti la ville comme une prison pour les enfants, pour lesquels l’espace extérieur se limite à la cour de l’école et au parc (où il ne va jamais seul). Quant au jeune adulte sans enfants, autonome dans ses déplacements (à pied, vélo ou transports en commun) qui peut se permettre de flâner en ville (et évite soigneusement les aires de jeux où sévit une incroyable concentration d’enfants et de poussettes ;)), il vit pour sa part au milieu de ses pairs, dans un monde quasi exclusivement (...)