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28 août 2014, par Walter Bouvais
En cette rentrée molle où notre pays et d’autres semblent englués dans une crise sans fin, le sentiment qu’on repart pour un tour, mais surtout « pour rien » prédomine. Les élites politiques s’enlisent dans une panne d’idées généralisée. Les « grands » médias continuent de s’emballer pour des sujets anodins. Les professionnels de la pensée et les consultants de la philosophie poursuivent leurs leçons insipides. Les professionnels de l’économie maintiennent qu’il faudrait aligner nos salaires sur ceux des (...)