En réponse à :
1er avril 2014, par Karine Le Loët
Un réchauffement de 2,5°C n’entraînerait qu’une baisse de 0,2% à 2% du PIB selon le dernier rapport du Giec. Une broutille ? Non, à en croire l’économiste Stéphane Hallegatte, qui rappelle les limites de l’évaluation économique de l’impact.
L’économiste Stéphane Hallegatte a participé au chapitre « économie de l’adaptation » du deuxième volet du nouveau rapport du Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) diffusé ce lundi.
Terra eco : Selon votre texte, un réchauffement à 2,5°C (...)