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5 mars 2014, par Amélie Mougey
Faute de pays volontaires, le traitement de l’arsenal chimique syrien sera réalisé dans les eaux internationales de Méditerranée. Une association de protection de l’environnement s’inquiète.
C’est le syndrome de la patate chaude, version toxique. Après l’adoption par l’ONU d’une résolution contraignant Bachar al-Assad à détruire ses armes chimiques, la communauté internationale se retrouve avec 700 tonnes de substances de « priorité 1 » – les plus dangereuses – sur les bras. Depuis plusieurs mois, des (...)