En réponse à :
13 janvier 2014 14:46, par greenfred
ne pas oublier que pour arriver à ces résultats, les maraichers parisiens bénéficiaient d’un apport "illimité" de fumier(s), surtout de cheval, mais aussi d’autres sources, que tous ne se valaient pas, et les produits phyto de synthèse n’existaient pas (pas de pollutions chimiques)