En réponse à :
12 juillet 2013 09:28, par in4mation
Areva veut vendre sa filiale informatique Euriware à l’un des gros acteurs du marché : CAP, ATOS...
Les repreneurs louchent sur le juteux contrat de l’informatique d’Areva et tous les salariés du groupe ( 2000) sont en paniques, car une fois Euriware intégrée à un géant, les petits sites réparties sur le territoire vont être fermés et ils rejoindrons les légions de chômeurs.
Le but d’Aréva est de faire baisser les coût de son informatique, mais le nucléaire peut-il se limiter à une informatique au rabais ou le helpdesk serait au Maroc et les administrateurs en Inde ?
Cela montre aussi que la politique (...)