En réponse à :
6 avril 2013 08:37, par Lau
Un aspect primordial non évoqué est celui de la qualité de l’air respiré par les cyclistes. En plein effort, ils sont particulièrement exposés, notamment aux particules fines émises par les motorisations diesels. Ces particules sont considérées comme cancérigène probable par l’OMS. A Paris, la qualité de l’air près des axes routiers est fortement influencée par ces émissions. Autre polluant, le dioxyde d’azote qui en moyenne annuelle, a des niveaux jusqu’à deux fois plus élevés que les valeurs préconisées par la (...)