En réponse à :
11 décembre 2012 13:41, par thomas
Quelle que soit la voie envisagée (valorisation financière du capital naturel ou non), le principal problème reste de réussir à appliquer des règles au monde entier. Car si une telle réglementation ne s’applique que dans certains pays, on verra les pollueurs se reporter sur les autre pays, et il y aura des paradis de la pollution comme il y a des paradis fiscaux.
Or on l’a encore bien vu à Doha, l’heure d’un consensus mondial n’est pas arrivée. La politique traditionnelle, poussant chaque représentant à défendre les intérêts de son propre pays ou les siens, n’est pas compatible avec la défense d’un bien (...)