En réponse à :
27 mars 2011, par Laure Noualhat
En 2003, je me suis rendue en zone contaminée, en Ukraine et en Biélorussie. En 2005, j’ai vu la centrale et erré dans Prypiat, la ville fantôme distante de deux kilomètres. Je n’en suis jamais revenue.
En mars 2003, je suis partie pour la première fois à Tchernobyl pour le quotidien Libération. Aucun anniversaire ne se profilait à l’horizon – la fenêtre de tir médiatique s’ouvre tous les cinq ans – et personne, dans la presse, ne s’y intéressait. J’étais donc peinarde. Pour me rendre compte des conditions (...)