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9 juillet 2010, par Guillaume Pitron
Ce doit être le son des vuvuzelas qui me manquait. L’ambiance festive qui règne à Johannesburg. Ce sentiment d’y saisir le moindre paradoxe de la nation arc-en-ciel, africaine mêlée d’occident, laboratoire multiethnique du monde qui vient, peut-être le seul état au monde où l’homme blanc, minoritaire, est enclin à l’humilité face à ses frères noirs…
J’ai donc pris la route plein sud, traversé à nouveau le fleuve Limpopo, continué en avion jusqu’à port Elizabeth pour venir me fondre, ce samedi 10 juillet, (...)