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1er juillet 2010, par Guillaume Pitron
D’un côté une nation sous les feux de la rampe et qui bénéficie d’une forte côte d’amour. Un peu plus au nord, un pays marginalisé, gouverné par un autocrate et qui s’enfonce dans la crise alimentaire, politique et sanitaire. Choses vues.
Ce doit être le ras-le-bol des vuvuzelas qui m’a poussé à faire route vers le nord, traverser le fleuve Limpopo et survoler à bord d’un bimoteur de fortune les paysages vallonnés du Zimbabwe. Harare, la capitale, avec son paisible quartier d’affaires et ses banlieues (...)